L'épouse du président ivoirien livre ici une tribune dans
laquelle elle expose les engagements pris et les recommandations avancées sur
les questions de santé maternelle, de droits des femmes et de lutte contre le
travail des enfants, lors du Forum des premières dames de la Communauté
économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), en octobre dernier.
Mes
sœurs épouses de chefs d’État africains et moi-même avons mis la défense des
femmes et des enfants en tête de nos priorités. Pour ce faire, nous nous sommes
récemment réunies en faveur de la lutte contre le travail et l’exploitation des
enfants, ou encore contre la fistule obstétricale qui touche bon nombre de
femmes sur le continent.
La santé des femmes, un enjeu majeur
Les
femmes africaines sont victimes de problèmes de santé spécifiques, qui
appellent des réponses adaptées : la mortalité liée à la grossesse (l’hémorragie
maternelle est la première cause de décès maternel en Afrique) ; la prévalence
du VIH/sida, cinq fois supérieure au reste du monde ; les violences basées sur
le genre ; les coups et blessures domestiques ; l’excision, qui concerne plus
de 130 millions de filles en Afrique et au Moyen-Orient ; etc. Pour enrayer ces
fléaux, avec mes sœurs de la sous-région, nous avons participé, en octobre 2017,
au Forum des premières dames de la Communauté économique des États de l’Afrique
de l’Ouest (Cedeao), organisé à Niamey, au Niger, et qui avait pour thème
principal la lutte contre la fistule obstétricale. A l’issue de nos travaux,
nous nous sommes bien sûr engagées à lutter contre la fistule obstétricale en
Afrique de l’Ouest, mais aussi contre les mutilations génitales et l’impact des
violences basées sur le genre. Nos recommandations comprennent : le
renforcement des structures de prévention et de prise en charge dans tous les
pays, l’amélioration de la protection légale des femmes, le combat contre les
mariages d’enfants, les viols et l’excision, l’accroissement des ressources
nationales pour la prévention, ou encore le traitement et la réinsertion des
filles et femmes guéries ou non de la fistule.
Mettre fin au travail des enfants
L’autre
mission dont mes sœurs et moi-même sommes investies, concerne la lutte contre
le travail forcé des plus jeunes. Dans le monde, 120 millions d’enfants âgés de
5 à 14 ans sont encore employés contre leur gré, majoritairement dans le
secteur agricole. C’est un tiers de moins qu’en 2000 selon l’UNICEF, mais
toujours 120 millions de trop. En Afrique subsaharienne, plus d’un enfant sur
cinq est contraint de travailler - soit trois fois plus que dans le reste du monde.
Si la notion de travail des enfants doit inclure toutes les formes de travail
affectant les perspectives d’avenir ou la santé des enfants, elle ne doit pas,
en revanche, concerner l’aide que peuvent apporter, de façon ponctuelle, des
enfants à leurs parents. C’était le sens de mon intervention, devant les
dirigeants de l’OIT, le 24 avril 2016 à Genève. Il en va de l’efficacité de la
lutte contre le phénomène. Il est nécessaire de se concentrer sur les pratiques
qui représentent réellement un danger pour l’avenir de nos enfants. Les
premières dames d’Afrique de l’Ouest et du Sahel entendent bien faire leur part
dans cette lutte. Nous nous sommes ainsi réunies à Abidjan du 16 au 18 octobre
2017, afin de lancer certaines mesures contre la traite, l’exploitation et le
travail des enfants.
Conscientes
de «
l’ampleur des menaces au bien-être des enfants, qui compromettent la
réalisation de leurs droits et qui affectent directement le développement
social et économique de nos pays »,
nous avons pris de nombreuses résolutions. Parmi ces mesures, le soutien « à l’établissement (…) des listes des travaux et des produits
dangereux interdits aux enfants », le soutien aux « actions de sensibilisation et de communication », les
contacts avec les chefs traditionnels
et religieux pour qu’ils protègent mieux les enfants, la généralisation de l’école obligatoire et gratuite, «
l’allocation de ressources suffisantes aux services de protection de l’enfant », ou
encore la contribution «
à l’autonomisation des femmes ».
Si
le chemin pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés est encore
long, notre volonté est inoxydable.
La maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. Plus tôt vous recevrez un traitement, meilleur sera votre résultat. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l’herpès, Tasha Moore, témoignant à propos de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center.J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de la médecine je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de brevet d'invention du VIH, je suis guéri et libre d'Arv Pills. Je lui en serai toujours reconnaissant. Drituaherbalcenter .Ici son numéro de contact +234 8149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Virus, Cancer, Virus de l'herpès, Maladie de Lyme, Épilepsie, Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du rein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Peau Cancer, Lupus, Cancer utérin, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, CTPD, Maladie de Parkinson. Maladie génétique, Fibrodysplasie, Fibrodysplasie évolutive, Syndrome de toxicité pour la fluoroquinolone, Syndrome de toxicité du foie / du rein, Inflammation des hommes et des femmes, Maladie , Diabète, fibromes ...
RépondreSupprimer